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MOTS MELES ET AUTRES MOTS DITS...

"Un peu comme pareil"

Un peu comme pareil 

 

presentation 

 

"Ressentis ressassés..."

Il y a des choses comme ça qui nous tombent dessus sans trop que l’on sache pourquoi…pourquoi maintenant ?...parce que j’en avais besoin et que je l’avais oublié…pourquoi cet évènement ci ?...parce que c’est celui qui correspond à la vie que je voudrai avoir aujourd’hui…pourquoi dans ce lieu ci ?...Ici ou ailleurs, peu importe où parle le cœur…pourquoi est-ce si dur ?...Parce qu’il me faut faire un choix et que rien ne prouve qu’il sera sur…mais c’est tellement bon l’inconnu quand c’est maîtrisé, quelque peu réfléchi, posé et apposé, ressassé…mais point de trop non plus, assez c’est assez.

 

Il y a des choses que l’on sent, des signes que l’on voit parce qu’on veut les voir et que rien ne peut expliquer si ce n’est notre plus enfouie volonté…ne pas passer à coté de son présent c’est éviter de regretter son passé ; et regretter d’antan c’est devenir frustré maintenant, bourré et violent, triste parce que se rappelant les opportunités passées qui nous seraient justement passées sous le nez…si tout est saisi au bon moment, alors nul besoin d’en regretter l’issue, car cela aura été un choix et une étape qui nous aura fait vibrer au moins pour un temps…

 

Je vibre, je ressens, je veux vivre et le faire pleinement…le plus dur est de conserver cet entrain sur la durée pour ne point trop retomber dans une nostalgie qui résulterait justement de ces instants enjoués passés…mais tout n’est qu’histoire de temps passé, présent et à venir…après la pluie vient le beau temps, et inversement ; pas de secret !! Alors choisissons de profiter à fond des instants plaisants présents, parce que ceux-ci ne se représenteront peut être pas, parce que rien ne vaut que l’on se prive d’un bonheur instantané, spontané, et désiré, rien, non rien de rien, je ne regretterai rien…

 

Etre en accord avec soi-même est une phrase ressassée tellement évidente à entendre et comprendre, mais si compliquée à s’appliquer ! Parfois on pense être en accord avec ses attentes, mais les attentes changent…nous avons alors le sentiment de nous être trompés, ou d’être allé trop vite…non ! Le ressenti de l’instant et le désir de maintenant est tout à fait légitime dans un monde ou l’éphémère a pris place parce que les quotidiens sont rythmés par les guerres, la famine, l’exploitation et l’esclavage, l’individualisme, la maladie, la frustration,  la fin de vie…Alors à quoi bon se priver d’un droit inaliénable, celui de provoquer notre demain quand les signes d’un meilleur destin se profilent à l’orée d’un matin train-train !!

 

Oui c’est égoïste, et je m’en excuse auprès de tous les bien-pensants qui voudraient se persuader en persuadant les autres que la normalité sociétale est le chemin de croix vers l’idéal ! Quel idéal ? Celui qui rassure parce qu’il est conforme au train-train habituel de tous ses couples qui finissent aigris, séparés, divorcés, et laissant cloués sur place des gosses qui n’ont rien demandé que de découvrir la vie dans sa plus grande hospitalité ?!! Qu’à cela ne tienne, ces gosses là savent bien s’en dégager et rattraper le manque à gagner affectif et rassurant en profitant des instants suivants qu’ils vivront au présent ! Du moins s’il s’efforce de provoquer le déclic…les déclics ! Oui « les » car il nous faut en provoquer plus d’un pour rebondir au quotidien ! La chienne vie avec son si peu de sens n’épargne que très peu de ses adeptes ! Il faut saisir ce qu’il y a à saisir de meilleur pour soi, juste pour soi…dans le respect de l’autre bien évidement, toujours, indépendamment…et le respect ne signifie pas de faire passer les intérêts de l’autre avant le sien, mais simplement de s’assurer que notre décision n’aura pas de conséquences biologiquement négatives pour l’autre, au sens du respect de sa personne dans son Humanité…Humanité avec ce grand H qu’il ne faut point trop fumer au risque de nous voir déconnecter de la réalité, et de nous voir enfermer dans notre propre réalité…parce qu’il nous faut faire avec la réalité de notre monde vivant, à nous de nous y adapter, tout seul, entouré, mais seul au milieu du tout…

 

 

Mais qu’est ce que je l’aime ma vie !! Aimer, vibrer, ressentir, et même trop, à fleur de peau…j’aime, jadore, je suis fan, je kiffe, trop d’la balle, mortel…tellement mortel…mourir un jour, peut être demain, peut être pas…mais mourir quand même…et quand, ça nous ne le savons pas…En revanche nous savons très bien qu’il y a des choses qui nous font vivre plus que d’autres, alors pourquoi autoriser la mort à frapper un jour au hasard et se priver de saisir les instants de bonheur intense ?! La condition humaine est tellement bizarre, tellement pleine de paradoxe, et tellement sous-exploitée en terme de capacités saines et salutaires ! Je parierai qu’on a des choses dans le ciboulot qui nous permettrait de vivre en harmonie si tous les maîtres à penser ne s’était octroyés bon gré mal gré notre droit à réfléchir et à être par nous même ! Nous sommes figés dans des modes de pensées, formater dans une pseudo normalité qui arrange toujours les même nantis, et condamnés dans notre majorité à subir sans rien dire les décisions d’aujourd’hui qui auront des répercussions demain sur notre putain de quotidien planétaire !! Et tout ça pour arranger Dieu le père où je ne sais quel missionnaire planétaire !!

 

Allez souriez, vous êtes en vie ! Z’avez plus qu’à provoquer et à faire attention de ne pas vous installer dans une existentialité qui vous laisserait trop longtemps en marge de vos projets, ceux là même qui vous remuent les trippes et que vous ne considérez que comme étant des idéaux de jeunes cons, des délires d’utopistes patentés…vivez vos projets, même si vous les considérez comme démesurés, la vision des choses changent au gré des évènements, reste à faire le premier pas, assurément…pour ne plus préférer la destinée de son voisin de pallier…

 

Allez souriez, vous êtes enviés…

 

 

Mathieu

 

(30 mars 2007 – 00h 35)

 

papier écorché, mots à panser...

 

 

( Cat Stevens – “father and son” / “It’s not time to make a change” / “Lady d’Arbanville” )

 

 

( Guns and roses –  reprise. “knocking on heavens door” )

 

 

( Led Zeppelin – “Stairway to heaven” )

 

 

(Clapton – “Tears in heaven” )

 

 

 

…Rencontres, échanges, découvertes…apprentissage de la vie, de sa vie, de son soi, juste pour soi…un coin de rue, un détour, un chemin, une trajectoire identique, un croisement, un regard, une pensée, un ressenti…au fond de soi, juste pour soi…imprévu, in-croyable, fortuit, destiné…

 

Des rencontres, pleins de rencontres…que des rencontres…parce que ca fait se sentir vivant, quelqu’un, de bien, ou pas, peu importe, mais quelqu’un, un, une  personne a part entiere parce qu’avec des ressentis intérieurs, étonnants, surprenants, imprévus et imprévisibles….

 

Un laps de temps qui change une vie parce qu’il y a eu rencontre, et donc échange de point de vue, dis ou tus, mais ressentis…on en sort forcement différent, changé, enrichi…pensées perchantes de ces perchants instants dans le contre coup d’un temps pas si lointain…

 

Etre vivant, ressentir donc être vivant…évoluer dans ses pensées, dans ses relations à l’autre, aux autres…évoluer en soi, pour soi, vouloir différemment, vouloir quand même…

 

Un tournant, parmi tant d’autres, mais un autre…jusqu’à quand, à quand le prochain…ressentir et vivre pleinement celui-ci, se l’avouer, se le dire, le ressasser quelque peu, s’en souvenir…savoir pourquoi ?...C’est comme ça, c’est ainsi, c’est la vie, c’est ma vie…son déroulement, ses surprises qui font que l’on se sent en vie parce que vivant…hauts, bas, stabilité ennuyeuse, pompeuse, plate et morne, lancinante et oppressante, avec l’attraction de ce bonheur chimérique qui n’est qu’un leurre pour ceux qui veulent bien y croire et inversement….

 

Les sons, les images, les odeurs, les ressentis a fleur de peau comme si on y était…comme si on le revivait…se faire du mal ?...assumer ses sentiments et ressentis, les exprimer au moins pour soi, juste pour soi…d’abord…

 

Se recréer les beaux instants sans tomber dans une négative nostalgie, mais s’en souvenir et se les remémorer pour mieux avancer…question de dosage, délicat, très délicat, mais libérateur et motivant quand cela est géré au mieux, pour soi, juste pour soi….

 

La vie va et vient, le « vivant » de nos vies est à provoquer, même si c’est lui qui décide d’être plus ou moins présent dans nos vies…quand il nous fait défaut, permettons nous d’aller vers l’autre, sans se sentir emprunt d’une quelconque marque de faiblesse, juste de l’humanité…juste ca, pour soi, juste pour soi…

 

 

 

Tout n’est que haut et bas, noir et blanc, puisque l’un ne saurait exister sans l’autre…A nous alors de nous en satisfaire, de nous en imprégner pour pouvoir ensuite nous en réjouir et en jouir….Les opportunités se cachent très souvent derrière des coups de moins bien, lovées dans le creux du dos de dame fatalité…Saisissons !...Les portes s’ouvrent face à l’inconnu, peur, effroi, déstabilisation, basculement, bousculade….se cramponner a sa fatalité ?...celle ci n’existe que pour ceux qui y croient…et pour les enfants qui n’avaient rien demandé…

 

 

Ce vide c’est une multitude de choix que nous offre la vie pour retrouver notre véritable nous, à nous, le notre, le vrai, le je….a trop s’en écarter la vie veut parfois nous y ramener, mais elle ne nous apporte pas cela tel un présent, mais plutôt comme un défi, un test quant à notre véritable volonté d’exister pleinement…c’est injuste oui, mais c’est ainsi….sachons le, et tentons de profiter de cette rare aubaine que nous octroie celle qui fait nos joies et nos peines, un peu a sa guise, ou peut être selon des critères bien définis mais que je n’ai alors jamais pu consulter…et qui échappe à la logique de notre  humaine vanité…

 

 

 

Mat

 

 

"PICNICDOUILLE"

Il est une contrée ou tout n’est que beauté, fertilité, richesses et splendeur…une contrée des plus immense tant par sa superficie que par son inviolabilité ; inviolable parce qu’inaliénable et au dessus de toutes prérogatives humaines…un vaste territoire sacré, intouchable, dépassant les limites de l’entendement du fait de l’harmonie qui y règne entre ses occupants…

 

 

La fertilité de sa terre réside en ce qu’elle est entretenue et protégée par un troupeau de moutons blancs, qui jour après jour s’efforce tant bien que mal à purifier son support mourricier, à tailler chienlits et mauvaises herbes dans le vif, au gré d’un temps qui se veut plus ou moins long, plus ou moins bon…

 

 

Mais cette terre, plus vivante qu’imaginaire, est sujette au grave fléau de l’inégalité, au travers de ces pluies, averses et ondées qui tombent au gré de leurs envies…et pousse la chienlit.

 

 

Le troupeau se trouve alors fort dépourvu quand l’ondine est continue, et plus encore quand, sentant sa faiblesse, le vilain complice dans sa petitesse se saisit de cette faiblesse pour l’introduire…l’introduire sans le prévenir, puisque telle est la substance du mal comme du pire…

 

 

Mais le pire est à venir…le troupeau, quelque peu dépassé par l’immense tâche à accomplir pour préserver la source de son devenir, s’en sort plutôt bien ; chaque mouton blanc y met force et conviction car telle est  leur essence même, leur fonction première parce que primaire…chaque élément, chaque composite de cette entité qu’est le troupeau a sa tâche bien prédéfinie, pour que l’immense contrée puisse être et exister…

 

 

Mais à la nuit tombée, des hurlements déchirent la quiétude de la belle contrée…un frisson d’effroi parcourt le sol du territoire dans son entier, comme un pressentiment, comme le triste signe de ce que sera sa destiné…

 

 

Chaque nuit, alors que les moutons blancs s’en sont remis aux bras de Morphée, les loups rôdent, reniflant la bonne odeur de l’inégalité, sachant déjà que pour eux la tâche sera bien aisée…

 

 

Chaque nuit, les loups attaquent et dévorent un, deux , ou trois moutons blancs…et le pire dans tout cela c’est qu’au petit matin, aucun des moutons restants ne s’aperçoit qu’il manque quelques moutons vivants….Les loups sont perfides, pervers et malins, discrets, avides et vilains…leur intelligente discrétion leur permet d’introduire le troupeau sans se faire remarquer ; leur discrète intelligence leur permet de se vêtir d’un blanc manteau…Les voilà déguisés, masqués, cachés derrière leurs parures chimériques !

 

 

 

Les jours passent, les moutons trépassent et la chienlit pousse et pousse en surface…les moutons blancs ne comprennent pas pourquoi ils n’arrivent plus à venir à bout de ces herbes sauvages alors que leur nombre ne décroît pas…mais les loups sont bientôt plus nombreux que les moutons…sur la totalité du troupeau, il ne reste plus que trois vrais moutons…et plus de cent loups…

 

 

 

L’immense contrée n’est plus que le terrain de jeu du fléau de l’inégalité ; le sol a perdu tout contrôle de lui-même, la chienlit apparaît dans tous les coins et recoins du territoire, et les moutons sont las…les loups vont pouvoir dominer sur cette étrange terre soumise au bon vouloir de dame destiné quant à sa condition…et la chienlit de proliférer à foison.

 

 

 

 

 

 

…Petit Prince ?...Toi qui es allé au-delà de notre quotidienneté, ne pourrais tu pas me laisser imaginer une solution pour régénérer le troupeau ?...

 

 

…dessine moi un mouton...et voguent les maux.

 

 

 

 

 

 

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