blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

MOTS MELES ET AUTRES MOTS DITS...

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

L'ENTENTE DE TOUS EN PASSE PAR L'ACCORD DES "ON"...

L'ENTENTE DE TOUS EN PASSE PAR L'ACCORD DES "ON"...

Blog dans la catégorie :
Divertissement

 

Annonce vocale

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

MOTS MELES ET AUTRES MOTS DITS...

"Plaidoyer d'Emile de Cachan"

Cela fait trois heures qu'il a la panse qui rumine au milieu de cette sueur et de toute cette peur ammassée dans cette grosse file causée par les rabatteurs de demandeurs d'asile...Il est maintenant 5h, et son bide crie famine...

Il est de ceux-là Emile, de ceux à qui ont refuse les papiers qu’on leur reproche de ne pas avoir ! …Logique élitiste  pour vendeur de chimères idylliques, cirroshé tel des barriques éthyliques.  

 

 

…D’où il vient Emile ? ! On s’en fout! De Gaïa ! D’une couille et avant ça, du même arbre que le ptit  de Nagy-Bocsa !

 

 

Emile il s’en remet à Dieu ; il dit qu’Il saura bien bannir de son eden les mécréants lors de son ultime jugement…et pis il me dit, tu sais tout ça…c’est de la faute au petit  de Nagy-Bocsa….

 

 

Pourtant lui aussi il a un papa qu’est pas né là ! ! C’est quoi la difference entre lui et moi ? ! Kabyle ou Suèdois, l’asile est un droit quand bien même règne la persécution parce qu’un nabo s’est proclamé roi ! Kabyle ou Suèdois, de Chine, ou Hongrois…

 

 

La gueule d’un canon est bien moins dangereuse que la gouaille d’un con,

 

Comme le droit de boire des litrons l’est bien plus que le pochtron !

 

Et ce n’est pas en versant de l’eau froide sur le pot qui bout

 

Qu’on retire le bois du foyer qui crépite en dessous…

 

 

Alors on ne se baignera pas deux fois dans le même fleuve monsieur  de Nagy-Bocsa,

 

Le gros pen est passé par là, et vous,vous ne repasserez pas !

 

Parce que nous n’échangerons pas le borgne contre l’aveugle

 

Parce que nous n’échangerons pas la trogne contre la gueule…

 

 

Parce que le lendemain s’instruit aux leçons de la veille

 

L’ivrogne sait les dégâts de la bouteille,

 

Parce que c’est en se consumant qu’éclaire la chandelle,

 

Aujourd’hui nous savons que votre haine excite les querelles.

 

 

Alors non , vous ne passerez pas monsieur de Nagy-Bocsa,

 

La chienne France vous à aider à passer le fleuve

 

Et aujourd’hui vous l’accusez d’avoir la gale,

 

Pour que l’exilé qui nulle part n’a de demeurre,

 

S’en retourne chez lui crevé de dalle et de terreur…

 

 

 

Vous ne calculez pas la dépense dans la construction de votre édifice

 

Mais n’oubliez pas que cette indécence est proportion du précipice !

 

Je veux dire par là que la tour est haute quant à la comptabilité de vos fautes,

 

Et plus il y en a, plus le coupable tombe bas….

 

 

…Et vous savez quoi ? Je vous le souhaite monsieur de Nagy-Bocsa.

 

 

C’est bien connu, à trop vouloir serrer le pressoir, le vin va sentir le pépin ;

 

Est-ce à dire que le crachoir débordera de son trop plein ?

 

Que quand les brebis enrageront, elles seront pires que le loup ?

 

Assurément ! On ne méprise pas l’affamé qui vole pour satisfaire sa faim ,

 

Puisque nul n’a le droit de condamner le riche Hongrois qui fuit son triste destin.

 

 

Et quelle est donc cette alliance avec le bouffon de notre monde contemporain ?

 

Celui qui engendre la démence dans l’univers et son confins

 

Ne peut être appuyer que par les cons qui cautionnent et prônent notre fin !

 

 

Il faut que dorme le fanatisme pour pouvoir le déraciner,

 

Et non point l’exacerber pour le voir plus éveillé !

 

Il est alors, tas de cons,

 

Un monstre qui se dit fils de la religion !

 

 

Vous n’êtes point l’esclave des super faucons, car celui ci n’a qu’un maître,

 

Mais vous êtes ambitieux  car celui-ci en a autant qu’il y a de gens utile à son dessein, et quel dessein! !

 

 

Il ne s’agit point là du mouton et de son petit prince, ni point encore du quignon qui ferait les pauvres moins minces ; vous voulez pendre les hommes qui ont volé des chevaux, alors qu’il vous faudrait faire en sorte que la survie ne soit plus un magot, alors qu’il vous faudrait faire en sorte que la vie ne soit plus un fardeau.

 

 

Vous allez rire monsieur de Nagy-Bocsa, mais vous me foutez des boules grosses comme ça,

 

Comme une grosse envie de chialer que je ne lacherai pas,

 

Parce que celui qui pleure trop finit par en perdre les yeux,

 

Et que si parfois l’amour est borgne, toujours aveugle est la haine.

 

 

Alors non, je ne lacherai point de sanglot même si vous valez la peine de nos peines,

 

Mais c’est à nous que reviendra le dernier mot parce que celui qui salit son nid est le vilain oiseau, parce que tous les gentilhommes sont cousins, et compères tous les vilains.

 

 

Et même si la censure est la taxe que doit payer au vulgaire l’homme éclairé,

 

Celui-ci éclairera le monde par son livre brûlé.

 

 

Peu importe l’art et la manière, peu importe le couvert,

 

L’important reste ce que l’on sert et ce à quoi il sert.

 

Vous, vous ne servez à rien, et peut être puis-je me permettre de dire que simplement vous vous servez, Aryens.

 

 

La transhumance des élites n’aura pas lieu, non on ne pille pas les richesses d’un continent que l’on délaisse,

 

On ne fustige pas une  jeunesse en panne sèche et en détresse parce que son altesse avec s’essuie les fesses.

 

Je ne blâme pas aujourd’hui le sang Royal même si celui-ci (celle-ci ?) est depuis fort longtemps en fond de cale,

 

Mais j’emmerde celui qui a profité des bons alois d’une société et qui en fait aujourd’hui une croix sur un bûcher.

 

 

De quel droit le nabot qui se prétend roi ferait de sa terre d’accueil une zone de non droit

 

Pour toutes celles et tous ceux qui comme lui en plein écueil demandent simplement qu’on leur octroie ce nécessaire vital qui devrait être la plus haute parce que la plus humaine de nos lois ! !

 

Y’en a qui naissent bien chez soi , y’en a qui naissent bien chez les autres…y’en a qui deviennent avocat et qui expulsent à tour de main, qui ont pour témoin Charles Pasqua avant de baiser Jacques Martin parcequ’il se tape Cécilia sous l’approbation de Bouygues Martin.

 

 

…Il est comme ça le petit de Nagy-Bocsa…

 

 

Mat

 

 

"On ne conte plus..."

Ce soir au café, sur ce rade qui le porte, il partira le dernier...des histoires plein sa hotte...Il dit qu'il ne porte plus les espoirs des gosses, il dit qu'il n'en peut plus de ces gens qui l'ignorent...

Le rêve n'a plus de place dans la tête des mioches, il ne laisse plus de trace dans leurs saines caboches; alors on ne le reprendra plus, esseulé dans sa tâche, à vouloir que perdure l'innocence d'un âge...

Et les gosses ne sont plus que cobayes et prétextes à ces grands qui ressassent leur jeunesse perdue...

...le tavernier se fâche, notre père a trop bu...de cette eau qui le tâche, de ces mots qu'ont ne dit plus...il fouille dans sa hotte pour régler son dû, mais il n'a plus la côte, ses cadeaux ne content plus...

...on lui passe les menottes, notre père sanglotte...une foule s'amasse, un mouflet s'en approche : "Pourquoi donc ce monsieur a des larmes plein les poches, pourquoi est-il si vieux, pourquoi est-ce qu'on l'emporte?..."

Et le monsieur en bleu lui retourne une taloche, un "ferme ta gueule morveu, ce vieux n'est qu'une poche!"...

...Petit papa noêl ne descendra plus du ciel,il n'a plus de jouet...ces elfs n'ont pas de papier...

Vive le vent, vive le vent, vive le vent d'hier...

 

"Liv..."

C'est l'histoire de deux enfants qui, poussant,
sont devenus grands...de ces deux grands qui, se
croisant puis se plaisant, devinrent amants...
  
   C'est l'histoire de ces deux amants qui, aspirant à
la maritalité, se marièrent et qui, mariés, aspirèrent
alors à etre parents...

   C'est l'histoire de deux vies, unies, liées,
réunies; de deux amoureux désireux ensemble de faire
leur vie, désireux ensemble de donner vie...

   L'édifice amoureux se voyait chaque jour grandir
encore un peu, et leur batisse à grands pas
s'approchait de leur utopie et frolait les cieux...la
vie à deux se profilait et se dessinait chaque matin
en toujours mieux, et le bonheur se lisait serein dans
les yeux de Monsieur et Madame Martin...

   C'est l'histoire d'une vie à deux ,espérée depuis
pas mal d'années et entamée depuis trop peu, mais déja
fort bien construite puisqu'emplie de projets
accomplits, une vie en devenir puisque pleine de
souhaits à exaucer, mais qui ne sauront exister...

...La vie nous a fait nous rappeler ce que nous
sommes, nous, humains, liés pieds et poings à notre
invariable destin qui fait qu'à nos débuts succèdent
notre fin...

   D'accord on grandit toujours en traversant les
errements liés à notre existence, cotoyant nos lots de
souffrance et de questionnements, mais pourquoi
souffri r pour grandir et plus encore quand il s'agit
si tot de mourir...
Vaine est la question puisque la réponse est dans
notre condition, et que traversant les ages nous
savons ce présage : la fin est immuable...

   Elle a le visage marqué , les traits tirés de
toutes celles et tous ceux qui sont un jour touchés
par cette fatale et prématurée maturité; elle qui n'a
que 20ans et qui pourtant a déja vécu les derniers
instants de celui qui fut son amant, lui qui est son
mari, eux qui voulaient des petits...

   C'est l'histoire d'un ptit bout de femme qui parle
au présent du passé, qui fait de son drame une
histoire à ne pas oublier,qui nous fait revivre les
exploits de celui quelle a toujours aimé, qui nous
fait nous dire que tu es toujours la, Olivier...

Toi qui aimait tant te prouver que tu pouvais faire
plus beau et plus grand que tous ces destins sur
papier glacé, tu lui envoies tes deux enfants, les
coudes serrés dans un couffin doré...  

   Je m'octroie alors et en dépit de cette vanité le
droit et le devoir de vociférer, bon gré mal gré, que
cette putain d'existencialité n'est point régie par
les lois de l'équité, mais hélas par celles de
l'universalité; que si quelqu'un au dessus il y avait,
ce drame n'aurait su arrivé, et que ce quelqu'un, si
il est, est un bien bel enculé...

   Dame Nature apose son sceau sur le destin des
Martin, eux qui croyaient en leur demain, eux qui
provoquaient leur quotidien...mais en vain...

   Alors fauche la faucheuse, fauche toute en dédain
des sanglots de la malheureuse...

   Oui faucheuse tu as fauché ton lot de destinées,
nous otant l'herbe sous le pied et la vie à notre
Olivier...fauche faucheuse, fauche...

...mais la graine a poussé...

A toi Olivier, à toi Emilie, aux Petits, et aux
"Heures Joyeuses"...

 

"Maux pansés..."

Ca faisait quelques jours, réunis en semaine, qu'elle était alitée pour préserver ses graines...Et c'est non sans émoi que je me dis ma foi, cette damoiselle là ne méritait pas moins que cela...

Y'avait plus qu'un étage qui nous séparait de la belle donzelle au pansu boursouflé; mais point de commérages sur la panse citée puisqu'elle n'est pas obèse, elle attend des mouflets...

Un sourire au baigneur, les fossettes rosées, non ce n'est pas un leurre, les semùences ont germé...Elle attend cet instant, où à force de pousser, ses deux petits brigands montront le bout de leur nez...

           Tu vas p'tête pas retrouver celui qui a osé t'écrire une fin pareille monseigneur Olivier...Mais c'est sans doute aucun que je me fais devin, pour affirmer serein que tu ny'es pas pour rien dans la fin retouchée, dans les maux repensés...pour que ta ptite smala sache que l'auteur c'est toi...

Je vois sur son visage un bonheur affiché, sans que rien ne présage que la fleurfut fanée...moi Milou j'la connais; permettez-moi siouplait de vous dire que naguère est le présent d'hier...

Une pousse d'Olivier, une pincée de belle, et nos deux nouveaux-nés ne seront pas des "elles"; comme prédestinés à survivre au mépris de ce qu epeut être la vie, nos olives seront des "lui"...

Deux queniots dans le tiroir comme pour mieux snober une bien triste histoire qui ne serait pas terminée...la vie est une trame parfois mal rédigée, un scénar tout en drame, une raconterie machée...

          Tu vas p'tête pas retrouver celui qui a osé t'écrire une fin pareille monseigneur Olivier...Mais c'est sans doute aucun que je me fais devin, pour affirmer serein que tu ny'es pas pour rien dans la fin retouchée, dans les maux repensés...pour que ta ptite smala sache que l'auteur c'est toi...

Le vilain ptit canard s'était vu mal aimé, pas de place dans sa mare, ses frangins l'avaient jetés...et c'est son racontar qui a pour lui décidé qu'un tout ptit peu plus tard, même si le mal était fait, il retrouverait le plumard de sa moman canard, et finirait peinard en train de barboter....

          Tu vas p'tête pas retrouver celui qui a osé t'écrire une fin pareille monseigneur Olivier...Mais c'est sans doute aucun que je me fais devin, pour affirmer serein que tu ny'es pas pour rien dans la fin retouchée, dans les maux repensés...pour que ta ptite smala sache que l'auteur c'est toi...

 Mat        

 

"Z'avez bien l'temps!"

Deuxième étage box 16 à la mater en néonat, je vois deux ptits visages qui apaisent une ptite mère qui m'épate...deux ptits baigneurs en vitrine, chétifs, que j'entrevois derrière la vapeur de mes babines...elle me fait un signe, j'entre, je vois...

Deux petits poupons tous deux scotchés à ce mamelon, qui me renvoit ma condition dans ma caboche de grand con; deux ptits mouflets en pleine pause-déjeuner, maman vient de tirer son lait, allez les gars il faut têter!

A ma gauche collé au sein droit : le ptit Hugo!...il boit goulument la vitalité que lui octroie sa douce et si jolie maman...

A ma droite collé au sein gauche : le petit Jules!...il se détend...c'est qu'il a voulu mettre les dents!Hey ptit mecton, tu te méprends!

        

 Z'avez bien le temps de devenir grand, z'avez bien le temps d'être conscient des traces laissées par ces instants, des après jamais comme l'avant, de l'inconscient qui vous rattrape, et de ces moments que l'on zappe...

Z'avez bien le temps de tenir debout, z'avez bien le temps de vous prendre des coups, de prendre le temps de faire joujou, de jouer au loup, de chanter le "matou"...de faire un ptit tour de l'Anjou avant de partir à Tombouctou!

Mais ne perdez pas un instant pour crier : JE T'AIME MAMAN !

 

Je ne peux que vous souhaiter d'avoir le faciesse, ce teint de poupée et cette gentillesse, de la belle madone qui n'a eu de cesse de s'assurer que bourgeonne les fruits de son altesse...

...OLIVIER...

...de qui vous tiendrez cette joie, cette hardiesse; et cette volonté de faire de vos belles des princesses...

Mais la vie l'a rattrapé, et c'est ainsi que le bas blesse; papa s'est envolé sans laisser d'adresse...

 

Mais...Z'avez bien le temps de devenir grand, z'avez bien le temps d'être conscient des traces laissées par ces instants, des après jamais comme l'avant, de l'inconscient qui vous rattrape, et de ces moments que l'on zappe...

Z'avez bien le temps de tenir debout, z'avez bien le temps de vous prendre des coups, de prendre le temps de faire joujou, de jouer au loup, de chanter le "matou"...de faire un ptit tour de l'Anjou avant de partir à Katmandou !

Mais ne perdez pas un instant pour crier : JE T'AIME MAMAN !

 

Il ne fait point de doute qu'un jour viendra où la vie vous laissera la conscience des traces; où à 4 ou 5 ans vous demanderez "maman...les ptites graines ont poussé...mais où est l'olivier?..."

Il ne fait point de doute que Milou saura vous dire, les enfants, pourquoi papa n'est plus là...et croyez moi les bambins il est autant certain qu'avec tous ses copains vous finirez ptête bien...dans l'électricité, dans l'art ou en plombier!! Ou ptête en train d'chanter, ou ptête chez les pompiers!! Ptête même dans le BTP, ptête dans l'esthéticité...?!!!

 

Mais...Z'avez bien le temps de devenir grand, z'avez bien le temps d'être conscient des traces laissées par ces instants, des après jamais comme l'avant, de l'inconscient qui vous rattrape, et de ces moments que l'on zappe...

Z'avez bien le temps de tenir debout, z'avez bien le temps de vous prendre des coups, de prendre le temps de faire joujou, de jouer au loup, de chanter le "matou"...de faire un ptit tour de l'Anjou avant de partir chez Kapidou !

Mais ne perdez pas un instant pour crier : JE T'AIME MAMAN !

 

 

 

Minibluff the card game

Hotels